La Métropole de Lyon élue capitale française de la biodiversité 2019 !
Les Lyonnais et Lyonnaises peuvent être fier.e.s ! La Métropole de Lyon a été élue « Capitale française de la Biodiversité » de l’année 2019. Une distinction qui récompense son action en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique.
Depuis 2010, un concours national récompense les collectivités qui s’engagent dans la préservation de la biodiversité. Celui-ci, soutenu par les ministères de la Cohésion des territoires et de la Transition écologique et solidaire, est organisé par l’Agence française pour la biodiversité, Plante & Cité, centre technique national sur les espaces verts et la nature en ville, et l’Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France. Cette année, le thème était « Climat : la nature source de solutions ». Et c’est la Métropole de Lyon qui a été désignée « Capitale française de la Biodiversité 2019 ».
300 000 arbres plantés d’ici 2030
« La Métropole de Lyon associe depuis plusieurs années son travail sur le climat à celui sur la place de l’arbre, de l’eau et de la nature sur son territoire », expliquent les organisateurs dans un communiqué. La collectivité a intégré dans son plan Climat et dans son document de planification urbaine (le PLU-H) des objectifs d’augmentation des surfaces d’espaces publics et privés ombragées par des arbres pour répondre « au défi déjà bien réel des îlots de chaleur urbains ». 300 000 arbres supplémentaires devraient être plantés d’ici 2030 pour « faire passer la part du territoire ombragé de 27 % à 30 % ». Et ce, grâce à la mobilisation de plus de 120 acteurs publics et privés réunis au sein de la « Chartre de l’Arbre ».
La Métropole de Lyon travaille également à la « désimperméabilisation » des espaces urbains et au stockage de l’eau de pluie dans ses espaces verts. Elle restaure et renature par ailleurs des cours d’eau et leurs berges. « En retrouvant des berges naturelles, des mares ou des zones humides, la Métropole de Lyon offre des espaces accueillants pour la faune et la flore et appréciés des habitants, tout en recréant des milieux qui sont de véritables « éponges » lors des pluies intenses ou des crues », soulignent les organisateurs. Autre action saluée : la gestion écologique des grands parcs, qui sont « des poumons verts et des réservoirs de biodiversité ».
La Métropole de Lyon succède à Besançon (2018), Muttersholtz (2017), Rennes (2016), Strasbourg (2014), Niort (2013), Lille (2012), Montpellier (2011) et Grande-Synthe (2010).
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