Et si vous plantiez votre slip ?
Pour tester la qualité des sols, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) propose de planter un slip. Une initiative… culottée !
« Le sol est un patrimoine naturel fragile qui participe à la régulation du cycle de l’eau et du climat. Il est le socle de la vie, de notre alimentation, d’une partie de nos médicaments… Plus il y a d’organismes vivants (vers de terre, bactéries, champignons…), plus le sol est riche, se renouvelle rapidement et permet à la végétation de pousser », explique l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe). La vie des sols est donc importante. Mais comment savoir si sa terre est en bonne santé ? Pour cela, rien de plus simple. Il suffit de planter un slip ! C’est ce que propose l’Ademe via son opération #Plantetonslip lancée en décembre dernier.
Cela peut sembler un peu fou mais cette méthode est très sérieuse. Elle est utilisée dans de nombreux pays et régions françaises par les agriculteurs. En 2018, la Chambre d’Agriculture du Var avait par exemple enterré 210 slips en coton bio sur 32 exploitations agricoles, rapportait France 3. Aujourd’hui, l’Ademe invite les particuliers à faire de même et à partager leur expérience.
Un slip décomposé, un sol en bonne santé !
Comment faire ? Prenez un vieux slibard 100 % coton (idéalement bio et non coloré), photographiez-le et creusez un trou d’environ 15 cm de profondeur. Après avoir mis votre slip, rebouchez le trou et marquez l’emplacement avec un tuteur. Patientez deux mois puis déterrez-le. Rincez votre slip à l’eau claire et laissez-le sécher. Prenez ensuite une photo de votre textile et postez-la sur la carte partagée disponible ici. « Vous pouvez aussi communiquer sur les réseaux sociaux avec le hashtag #plantetonslip », précise l’Ademe.
Si le slip a beaucoup de trous, c’est que votre sol est vivant et donc en bonne santé ! Dans le cas contraire, cela veut dire que votre sol présente une activité biologique faible. Il est alors nécessaire de le nourrir et de le protéger.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site mtaterre.fr. Plus d’infos également ici
According to this model K Ras activation of type II cells leads to adenocarcinoma because these cells are able to sustain or maintain Notch signaling when K Ras is activated order priligy NSAA therapy is not curative of prostate cancer